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Enguerran CARO--ALQUIER

BUT MMI

Compétences

Comprendre

Concevoir

Exprimer

Développer

Entreprendre

Comprendre

Comprendre les écosystèmes, les besoins des utilisateurs et les dispositifs de communication numérique

Composantes essentielles :

• Comprendre en restituant les résultats de manière synthétique
• Comprendre en écoutant et observant les utilisateurs
• Comprendre en s’appuyant sur des données quantitatives pertinentes et des outils statistiques adaptés
• Comprendre en sollicitant des modèles théoriques issus des sciences humaines et sociales
• Comprendre en intégrant les enjeux humains, écologiques et éthiques
  

SAE 1.01

Audit d’une communication numérique

Résumé

Le but était ici de réaliser 3 livrables.

Le premier était une présentation sous forme d’audit économique de Behance.

Le deuxième était un audit ergonomique.

Le troisième était un prototype sur Figma du site Behance.

Déroulement

Avec mon binôme Brad Savary, nous avons commencé par l’analyse économique et contextuelle de l’entreprise Behance.

Nous sommes partis du postulat que nous travaillerions mieux sur les autres livrables si nous connaissions d’abord mieux l’entreprise.

Nous avons alors tiré parti de la ressource R1.16 | Économie, gestion et droit du numérique afin de mieux comprendre la forme de l’entreprise et ses finances.

Un cours magistral nous a été donné lors de la première journée de cette saé, ce dernier nous a donné des connaissances sur Behance.

Dans ce livrable, nous avons également dû nous intéresser aux concurrents de l’entreprise et pour cela les cours d’ergonomie nous ont aidé car nous avions déjà eu un aperçu de ce genre d’étude.

Nous avons alors créé cette présentation avec l’éditeur Canva afin de gagner du temps sur la forme et pouvoir nous concentrer sur le fond.

Ensuite, dans le cadre de l’évaluation de la ressource R1.03 | Ergonomie et Accessibilité, nous avons fait un autre diaporama dans lequel nous avons analysé le site de Behance sur différents critères (graphiques, éditoriaux, ergonomiques, mode d’organisation...).

Ainsi, nous avons pu travailler l’AC11.02 | Évaluer un site web, un produit multimédia ou un dispositif interactif existant en s’appuyant sur des guides de bonnes pratiques en analysant ce site et en essayant de synthétiser toutes ces informations.

Enfin, nous devions réaliser un prototype interactif créé sur Figma qui avait pour but de répliquer le site de Behance.

Cela nous a permis d’acquérir des compétences en intégration web et surtout d’apprendre un outils primordial pour nos travaux futurs.

Cette première SAé a été très formatrice tant sur des outils comme Figma que dans le fait qu’elle était une première expérience proche des attendus d’un travail professionnel.

J’ai beaucoup apprécié cette SAé particulièrement pour ce qui était de la manipulation de Figma et la création du prototype.

SAE 2.01

Explorer les usages du numérique

Résumé

Cette SAé s’articulait autour de deux séquences de deux jours à un mois d’intervalle. Dans la première séquence, nous devions réaliser un guide d’entretien puis pendant un mois nous avions à interviewer 3 personnes avec ces questions. Enfin, nous avons présenté nos recherches durant un oral d’une dizaine de minutes.

Déroulement

Les deux premiers jours étaient donc consacrés à la rédaction d’un guide d’entretien pour l’application du futuroscope. Nous avons d’abord regardé en surface l’application du Futuroscope avec ma camarade pour comprendre ce qui existait déjà.

A partir de cette première analyse, nous avons écrit des questions à poser à nos interlocuteurs en les écrivant d’abord de manière brute, puis en essayant d’enlever au maximum les biais qu’elles contenaient.

Une fois que nous avons terminé ces questions, nous sommes questionnés sur les profils les plus pertinents à interroger et nous en sommes arrivés à la conclusion que nous avions besoin de profils jeunes et quelques profils plus âgés car ils ont des problématiques propres.

Nous en avons alors établi des personae pour mieux comprendre nos cibles en utilisant nos connaissances acquises en Stratégies de Communication et Marketing.

Avec nos questions et nos profils à rechercher, nous avons pu commencer à faire nos interviews. Pour ma part, j’ai interrogé ma grand-mère et deux amis afin de remplir les différents profils. Le premier entretien avec ma grand-mère s’est fait en présentiel et les deux autres ont été réalisés sur Discord.

Malheureusement, le premier entretien était un petit peu court, mais cela m’a permis d’affiner nos questions avec ma camarade et de rajouter de nouveaux points à notre guide d’entretien.

Ainsi, les deux entretiens suivant étaient plus long et donc plus denses en informations exploitables pour notre compte-rendu.

Ce compte rendu a pris la forme d’une présentation orale dans laquelle nous avons raconté le déroulé de notre projet et les conclusions et recommandations que nous en retenions pour le potentiel client qu’était le Futuroscope.

Dans l’ensemble, cette SAé s’est bien déroulée de mon côté et m’a permis de valider les apprentissages de la ressource Stratégies de communication et Marketing ainsi que les apprentissages critiques comme notamment Réaliser des entretiens utilisateurs pour construire des personae et des récits utilisateurs.

Concevoir

Concevoir ou co-concevoir une réponse stratégique pertinente à une problématique complexe.

Composantes essentielles :

• Concevoir en optimisant la responsabilité sociale et environnementale de l’organisation
• Concevoir en s’intégrant aux écosystèmes physiques et numériques des parties prenantes
• Concevoir s’appuyant sur les usages et les modes de communication observés
• Concevoir en enrichissant sa démarche de connaissances sociologiques, esthétiques, culturelles et inter-culturelles
• Concevoir en présentant de façon convaincante la réponse proposée, en français, en anglais ou dans d’autres langues
  

SAE 1.03

Produire les éléments d’une communication visuelle

Résumé

Les deux livrables étaient un jeu de tarot en dessin vectoriel et en montage photo.

Ce travail était individuel.

Déroulement

La première étape était de choisir le style d’un artiste que nous allions essayer de suivre pendant toute la semaine de SAÉ. Le choix n’a pas été simple car il m’a fallu estimer la difficulté de chaque style afin de voir lesquels étaient accessibles vis à vis de mes compétences dans les deux logiciels.

J’ai alors choisi une première artiste dont le travail me plaisait car je me suis dit que cela serait plus facile d’être assidu si l’artiste me plait. J’ai alors selectionné les travaux de l’artiste qui m’inspiraient le plus ce qui m’a permis de travailler l’AC Produire des pistes graphiques et des planches d’inspiration.

Ensuite, j’ai fait la même démarche pour le second artiste dont le style m’a semblé original et permettant plus de créativité.

L’étape suivante a été de m’entrainer aux différents styles et pour la partie Photoshop j’ai cherché sur internet de la documentation sur comment passer d’une photo à un aspect cartoon. Je me suis alors formé le premier jour à cette méthode afin de pouvoir ensuite être plus libre sur la partie créative.

Les jours suivants ont été plutôt répétitifs mais néanmoins très formateurs au niveau de l’AC Créer, composer et retoucher des visuels car il m’a fallu décliner le style de l’artiste aux différentes illustrations à produire.

Le travail que j’ai préféré pendant cette SAé a été de réfléchir à la symbolique des cartes du jeu de Tarot en trouvant des illustrations pertinentes et surtout variées. Par exemple j’ai modernisé le concept du chariot sur la carte ci-contre en mettant une voiture et pour la carte du pendu j’ai utilisé une corde pour dessiner un visage.

Une fois que toutes nos cartes avaient été produites, nous devions montrer nos connaissance des formats d’image en préparant un fichier d’impression pour deux des cartes ce qui nous a aidé à valider l’AC Optimiser les médias en fonction de leurs usages et supports de diffusion.

J’ai également prit le temps d’habiller mon projet Figma récapitulant mon travail et mes pistes de réflexion en créant un “mockup” de ce que pourrait rendre le jeu de cartes une fois imprimé.

Cette SAé était assez répétitive dans sa forme et m’a permis d’acquérir en plus des compétences sur photoshop et illustrator, une discipline de travail qui me sera sûrement utile dans le futur.

Je suis content de mes rendus et je pense avoir validé les compétences liées à cette SAé.

Exprimer

Exprimer un message avec les médias numériques pour informer et communiquer

Composantes essentielles :

• Exprimer en veillant à la qualité esthétique des créations et en la justifiant par des références culturelles et artistiques
• Exprimer en produisant un discours de qualité, appuyé sur les théories du récit et les traditions narratives
  
• Exprimer en respectant la stratégie de communication établie
  
• Exprimer en veillant à la qualité orthographique, grammaticale et typographique des productions
  
• Exprimer en communiquant en français, en anglais ou dans d’autres langues
  

SAE 1.04

Produire un contenu audio et vidéo

Résumé

Les livrables étaient une vidéo avec une voix off en anglais et un fichier au format pdf présentant le projet au client.

Déroulement

Les groupes nous ont ici été imposés et j’ai alors équipe avec deux camarades dont un que je ne connaissait pas très bien. Le premier jour nous avons appris les bases du stop motion dans un cours magistral de la ressource Écriture multimédia et narration afin de nous montrer les bases du stop motion. Nous avons alors réalisé une première vidéo avec une pomme sous la forme d’un “tour de magie” qui était un excellent prétexte pour découvrir les enjeux du stop motion.

Nous avons alors compris à partir de cette expérimentation que le changement de lumière, la fluidité des mouvements et la préparation de la scène allaient êtres les enjeux principaux de cette SAé.

Un des problèmes auxquels nous avons fait face durant cette SAé est le fait que nous ne pourrions pas tourner notre vidéo avant le Jeudi ce qui nous a empêché de nous organiser en étalant le travail car la post production allait prendre un temps bien plus important que la préparation du tournage.

Nous avons alors préparé notre StoryBoard, notre découpage technique ainsi que notre synopsis et la note d’intention de notre vidéo.

Notre premier travail a donc été de faire un brainstorm que nous avons centralisé sur un document texte où nous avons d’abord découpé notre vidéos en grands points que nous allions ensuite étoffer jusqu’à avoir notre script final.

Ainsi, nous avons choisi le point que nous allions mettre en avant dans notre vidéo : les fruits moches. Ainsi nous nous sommes dit que ce sujet ralliait les objectifs de budget et d’écologie.

Le jeudi nous avions un laps de temps relativement court pour tourner la vidéo (le stop motion étant un procédé très chronophage), mais nous avions bien préparé et ainsi nous avons finir le tournage avant l’après-midi qui était la limite à laquelle nous devions rendre notre place au studio.

Le tournage en lui même a été formateur car il nous a demandé de trouver des solutions en temps réels pour les quelques problèmes que nous n’avions pas anticipé comme le fait de garantir la propreté du support coloré.

Ensuite est venu le moment de la post production et c’est ici que j’ai joué le plus grand rôle dans mon équipe. En effet, j’ai une certaine expérience en montage vidéo et particulièrement sur Adobe Premiere Pro, cela m’a donc d’effectuer une grande partie du montage bien que les membres de mon groupe aient été très impliqué dans cette post-production.

Nous avions eu un problème avec l’ordre dans lequel s’étaient enregistrées les images ce qui a été complexe à corriger mais en travaillant chez moi j’ai pu corriger ces soucis.

Après avoir enregistré les voix off et travaillé sur la synchronisation des images et du son, nous avons pu rendre notre projet dans les temps.

Bien que ce projet ait été assez frustrant à cause du délai avant le tournage, il a néanmoins été très enrichissant dans les domaines de la vidéo et du travail en équipe.

Le fait de faire une voix off en anglais a été une de mes parties préférées car la narration est quelque chose que j’affectionne tout particulièrement.

Lien vers la vidéo finale

Développer

Développer pour le web et les médias numériques

Composantes essentielles :

• Développer en se conformant aux standards du Web et aux normes d’accessibilité
• Développer en produisant du code fonctionnel, sobre et réutilisable
• Développer en s’appuyant sur des concepts théoriques issus de l’informatique et des sciences de l’information
• Développer en utilisant les outils favorisant un développement itératif et collaboratif
• Développer en veillant à la sécurité des systèmes et des données
  

SAE 1.05

Produire un site Web

Résumé

Les livrables étaient un site web qui comportait une page pour notre maquette finale et une autre pour tous nos composants intégrés et le code source de note page.

Déroulement

Pour ce travail individuel, nous avons d’abord reçu un cours d’Hébergement qui nous montrait comment accéder à notre serveur VPS. Nous avions déjà abordé la plupart des thématiques liées à l’hébergement, ainsi cela n’a pas été trop complexe.

Mais le problème a été qu’après cette séance, nous n’avions pas de consignes à suivre et nous n’avons donc pas pu avancer sur notre projet avant l’après midi.

C’est pendant la séance explicative de l’après midi que j’ai comprit que la plus grande difficulté de cette SAé serait de garder la motivation de coder toute la journée des composants. Car nous devions reproduire des modèles, d’abord graphiquement puis dans leur fonctionnement.

Ayant des facilités dans les ressources liées à la création de sites web (particulièrement dans la partie code), j’ai voulu commencer par reproduire des composants complexes afin de saisir directement le niveau de difficulté à laquelle m’attendre.

J’ai essayé de voir chaque composant à réaliser comme un casse tête un résoudre afin de comprendre comment il a pu être créé et ainsi mieux le reproduire.

Les premiers jours, je me suis heurté à un problème qui était mon manque de productivité. En effet, pour apprendre n’importe quelle compétence, j’essaie d’aider les autres qui sont plus en difficulté ce qui me permet de rencontrer des erreurs auxquelles je n’avait pas encore fait face tout en aidant mes amis.

Mais cette façon de travailler, bien qu’enrichissante d’un point de vue compétence, m’a ralenti dans mon travail. Ainsi, c’est à partir de la deuxième semaine que j’ai décider de diviser mon temps en segment où je travaillerais intensément et d’autres dans lesquels je serais ouvert aux demandes de mes camarades.

En suivant cette méthode, j’ai réussi à acquérir une méthode de travail plus efficace et à atteindre ainsi mon rythme de croisière.

Ainsi, j’ai pu coder plus de 30 composants au cours de la semaine et créer un site web à la hauteur de es attentes et fonctionnel.

J’ai également prit le temps de travailler la page d’accueil du site pour rediriger vers ma maquette et la liste des composants.

Au terme de ces 3 semaines de SAé, je pense avoir acquis la plupart des apprentissages critiques et avoir réussi à mettre en place une méthode de travail efficace.

Ainsi, pour les prochaines SAé de ce format, je pourrais partir directement sur de bonnes bases et être productif tout au long de l’évaluation.

Lien vers le site final

SAE 2.03

Concevoir un site web avec une source de données

Résumé

Dans cete SAé, le livrable principal était un site web hébergé sur lequel nous avions codé le plus d’itérations possible dans le but de se rapprocher d’un vrai site de streaming. Nous avions également à rendre un PDF qui communiquait nos liens, la logique de notre base de donnée ainsi que l’empreinte carbone et les performances de notre site.

Déroulement

La création de ce site était étalée sur deux semaines et demi et fonctionnait sur un principe d’itérations. Nous devions implémenter les fonctionnalités une par une et en réaliser le plus possible avant la fin du temps imparti. Une “itération surprise” nous a également été annoncée et nous en avons eu plus de détails lors de la dernière semaine.

Quand nous eu le sujet, je l’ai lu dans son intégralité pour essayer d’estimer jusqu’à quelle itération je serais capable d’aller et j’ai vite compris qu’il me faudrait faire plus d’une itération par jour.

J’ai alors établi un cahier des charges des actions à effectuer en prenant appuis sur les connaissances acquises dans la ressource Gestion de Projets.

Et, sachant que j’étais pressé par le temps, j’ai commencé à coder les premières itérations avec un rythme soutenu. Ici, je ne me suis pas trop attardé sur la partie visuelle car je savais que j’aurais le temps plus tard de travailler dessus quand plus d’itérations seront prêtes. En suivant ce rythme, j’ai réussi à finir 3 itérations dès le premier jour et atteindre la 6ème le deuxième jour.

Bien que la difficulté des itérations allait être croissante, j’ai vite compris que je pourrais atteindre une avancée assez forte dans les itérations et à partir du troisième jour j’ai passé une bonne partie de mon temps à aider des camarades en difficulté.

En effet, corriger les problèmes des autres est une excellente manière de consolider mes propres connaissances et c’est une pratique dans laquelle j’ai trouvé beaucoup de valeur, en plus de la gratitude de mes amis.

Les jours suivants se sont enchaînés et la partie développement touchait à sa fin. Notre compteur d’itérations allait se bloquer pour laisser place à l’itération surprise : copier le style d’un site de streaming imposé et l’appliquer à notre site.

Heureusement, j’avais codé mon site de manière à pouvoir me retrouver dans mon code et ainsi même une modification de ce niveau ne devait pas me poser trop de problèmes. Du moins c’est ce que je croyais.

En réalité, pour imiter le site “tënk” qui m’avait été attribué, une grande partie de mon code était à revoir pour m’adapter à l’architecture du site modèle.

Par exemple, le site présentait un grand carrousel qui ne ressemblait en aucun cas à celui déjà présent sur mon site et j’ai donc dû jeter une après midi entière de travail à la poubelle et en refaire un nouveau de zéro.

J’ai également eu du mal à refaire un effet de survol sur les vignettes des films mais je me suis ensuite rappelé d’un TP vu en cours d’Intégration où nous avions fait quelque chose de similaire et j’ai donc pu m’en inspirer.

Enfin, venait la construction du PDF de rendu et à part une légère complication sur la partie optimisation, tout s’est passé pour le mieux.

Ce projet a été pour moi d’un grand intérêt car il a mis en scène des compétences variées qui sont vraiment au coeur de la formation telles que le Développement et l’Intégration. La réalisation de ce projet m’a également conforté dans mon choix du parcours “Développement” pour la deuxième année de BUT MMI.

Entreprendre

Entreprendre dans le secteur du numérique

Composantes essentielles :

• Entreprendre en s’appuyant sur une veille technologique et des modèles de l’innovation
• Entreprendre en favorisant la collaboration entre les parties prenantes du projet
• Entreprendre en respectant le droit et la vie privée
• Entreprendre en favorisant la sobriété numérique
• Entreprendre en exploitant des cadres de réflexion français et internationaux
  

SAE 1.02-1.06

Concevoir une recommandation de communication numérique

Gérer une communication numérique

Résumé

Les livrables étaient un benchmark des concurrents, un wireframe de site internet one-page, un oral en anglais présentant à nos clients notre projet et un tableau présentant un planning de communication sur les réseaux sociaux. Ce à quoi s’ajoutait un partage de notre stratégie d’organisation sur le logiciel Trello.

Déroulement

Ce travail était à effectuer en groupes de 3 et nous avons commencé par nous organiser sur le logiciel Trello ce qui a occupé notre première matinée. étant donnée la grande quantité de livrables, nous avons découpé chacun d’entre eux en sous-tâches afin de pouvoir mesurer facilement notre progression.

Nous avons aussi associé à chaque tâche un délai à respecter car certains livrables comme l’oral d’anglais devaient être rendus avant les autres et nécessitaient une certaine avancée dans les autres livrables.

Cette analyse s’est également étoffée de quelques inspirations extérieures qui nous semblaient pertinentes pour notre projet de site web.

Une fois que nous avions fini ce premier travail d’analyse, nous avons pu créer notre maquette à partir d’un schéma que nous avions créé ensemble.

C’est mon camarade Bastien qui s’est chargé en majorité du wireframe dans sa partie “technique” tandis que mon autre camarade Melih et moi nous sommes occupé du contenu de cette page.

Ensuite, nous avons commencé le livrable principal sur Figma avec l’analyse des profils d’utilisateurs potentiellement intéressés par le site afin de mieux comprendre leurs besoins individuels.

Après cela est venue l’analyse des concurrents et nous avons alors chacun analysé 3 sites one-page présentant des jeux vidéos; Cette partie était assez intéressante car cela nous permettait de mieux comprendre ce qui rendait pertinent un site web et quelles erreur dont devrions éviter de reproduire.

Nous avons ensuite choisi les réseaux qui nous semblaient le plus propice à cette communication tout en justifiant nos choix et nous avons à partir de toutes ces analyses établi un planning sur 1 mois des publications que nous pourrions faire.

Chacune de ces publications était associée à un objectif qui justifiait sa diffusion et à une date qui selon nous était la plus propice.

Venait ensuite le livrable en lien avec les réseaux sociaux et pendant que Bastien se chargeait du wireframe, nous en avons profité pour analyser des comptes liés à des jeux vidéos sur différents réseaux

Ainsi j’ai pour ma part regardé des coptes de jeux que je connaissait déjà et dont je savais que la communication était efficace.

Enfin pendant cette SAé nous avons fait un oral de présentation de notre projet de site one-page en anglais.

Nous avons bien préparé cet oral en faisant un diaporama avec les éléments qui selon nous étaient les plus pertinents à présenter.

Puis, nous avons accordé beaucoup de temps à la répétition de cet oral afin d’être à l’aise lors de la présentation et de la faire sans notes.

Le bilan de cette SAé est assez mitigé bien que je ne sache pas à ce jour quels points sont à revoir.

En effet je pensais que moi et mon groupe avions fourni un travail de qualité mais ce ne devais apparemment pas être le cas.

Une des pistes d’amélioration est peut-être la précision lorsque nous abordons des exemples, ceux cis n’ont peut-être pas été assez approfondis.

La compétence Entreprendre est donc à ce jour celle où j’ai le plus de fragilité bien qu’en dehors des SAé j’ai l’impression de bien maitriser ce domaine.

SAE 2.04

Construire sa présence en ligne

Résumé

Pour cette SAé, les deux livrables étaient une présentation orale de type pecha kucha (6min40) qui détaillait une projet que nous avons effectué de manière assez libre et un dossier de personal branding qui faisait état des lieux de notre présence en ligne puis qui montrait nos démarches pour améliorer cette présence avec notamment la création d’un compte Linkedin.

Déroulement

La première chose à faire durant cette semaine a été de faire un état des lieux initial de ma e-réputation.

J’ai donc recherché mes nom et prénom sur différents moteurs de recherche et je me suis rendu compte qu’à part mon Linkedin, très peu des résultats étaient réellement liés à ma personne. En effet, la plupart des résultats étaient des homonymes ou des membres de ma famille, ce qui ne permet pas de trouver facilement mes réseaux.

À partir de ce constat, j’ai pu établir un cahier des charges des actions à mettre en place dont voici les principales :

• Créer des comptes sur plus de réseaux sociaux
  
• Les tenir à jour pour optimiser le référencement
  
• Uniformiser mes comptes avec leurs photos de profil et leurs couleurs dominantes
  
• Faire disparaître au maximum les traces de mes comptes privés tels que mon compte Facebook
  

J’ai ici pu utiliser mes connaissances acquises dans les ressources Écriture multimédia et narration ainsi que Stratégies de communication et marketing pour établir une communication efficace et cohérente.

Ce travail de personal branding m’a plu car il a été l’occasion de réfléchir à l’image que je souhaitait renvoyer de moi, ce qui est un bon exercice d’introspection et de communication.

Ensuite, venait l’écriture de ma présentation orale et pour cela j’ai réfléchi à quel projet présenter, puis j’ai repensé à la fois où j’ai développé un petit jeu au sein du jeu Minecraft. Ce petit projet que j’avais réalisé pendant l’été m’avait beaucoup apporté de connaissances et j’ai donc jugé bon d’en parler durant mon oral.

Afin d’écrire efficacement ma présentation dans ce format particulier qu’est le Pecha Kucha, j’ai utilisé 20 post it numériques qui représentaient ce dont je devais parler sur chacune des 20 diapositives.

J’ai alors écrit une petit trame principale puis durant plusieurs heures mon travail a été de décrire de manière synthétique le déroulé de ce projet tout en essayant d’intéresser mon auditoire à mon sujet qui était un petit peu de niche.

L’une des difficultés de cette présentation était qu’elle se faisait en Anglais, ce qui restreint les parties improvisées et m’a contraint à écrire un script assez précis afin de ne pas me perdre durant ma présentation.

Mais je suis venu à bout de cette écriture et j’ai eu le temps de créer mon diaporama qui était basé sur des images du projet que j’avais prises au moment de sa réalisation.

Venait alors la présentation orale qui s’est très bien déroulée grâce aux nombreuses répétitions que j’ai pu faire en amont.

Le bilan de mon côté pour cette SAé est donc très positif bien que je ne pense pas que faire cette présentation orale ait mobilisé d’autres ressources que l’Anglais ce qui est dommage pour un projet sur plusieurs jours.